FAQ

Vous recherchez une information ? Les questions les plus fréquemment posées sont recensées dans notre FAQ.

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À qui s’adresse cette 4e édition, refondue et augmentée de l’Abrégé d’archivistique ?

La première édition de l’Abrégé d’archivistique a été publiée par l’Association des archivistes français en 2004. Depuis, ce manuel, devenu un classique tant pour la formation des étudiants et des archivistes que pour leur pratique professionnelle, a connu plusieurs réimpressions et rééditions. Celle que vous tenez entre les mains a fait l’objet d’une refonte en profondeur pour réactualiser les contenus en lien avec l’évolution des principes, des pratiques et de la réglementation des archives.

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Quels ajouts et mises à jour comporte cette nouvelle édition ?

L’Abrégé d’archivistique intègre donc les nouvelles dispositions du Code du patrimoine, issues des derniers textes législatifs, mais aussi celles du règlement général sur la protection des données à caractère personnel (RGPD), qui ont des répercussions importantes sur la conservation des documents et données. Tout le volet numérique de l’ouvrage a été considérablement renforcé, dans le domaine normatif ainsi que sur les questions de pérennisation. Les principes de description archivistique et les normes utilisées dans la profession ont quant à eux fait l’objet d’une mise à jour conséquente, pour tenir compte non seulement des pratiques actuelles (description en XML-EAD ou EAC) mais aussi des modèles émergents, notamment Records in Contexts (RiC). En matière de valorisation, l’angle numérique a également été étoffé : sites Internet, outils et projets collaboratifs, réseaux sociaux sont abordés en tant que vecteurs de médiation avec les publics. Enfin, les chapitres consacrés aux archives courantes et intermédiaires ou à la collecte ont subi un profond remaniement pour accompagner les futurs professionnels et ceux qui sont déjà en exercice dans la mise en place de processus et d’outils adaptés aux nouvelles pratiques administratives et de gestion : procédures dématérialisées, records management, archivage électronique, mutualisation, questions liées à la validation et au cycle de vie des documents, notamment. La mission de l’archiviste est de conserver la mémoire d’une organisation mais pour y donner accès. C’est pourquoi le volet consacré à la connaissance du public des archives a été largement développé dans cette nouvelle édition.

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Pourquoi ce site Internet dédié à cette nouvelle édition ?

Comme son titre le laisse entendre, il constitue un état de la pratique à une date donnée, sous forme nécessairement assez concise et synthétique. Par ailleurs, la pratique archivistique évolue vite. Pour que cette édition 2020 de l’Abrégé d’archivistique puisse rester à jour le plus longtemps possible, le choix a été fait de proposer de nombreuses annexes, plus faciles à actualiser au gré des évolutions réglementaires et plus détaillées dans certains cas que le texte proposé dans le corps de l’ouvrage. Ces annexes sont proposées en version numérique sur le site Internet de l’Association des archivistes français, ce qui constitue une innovation importante par rapport à la précédente édition. Elles sont téléchargeables librement et seront actualisées régulièrement.

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Pourquoi proposer une sitographie ?

Des liens sont proposés vers d’autres ressources en ligne, notamment sur les sites institutionnels tels que FranceArchives, où de nombreux outils sont disponibles.

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Quelles sont les missions de l’Association des archivistes français (AAF) ?

L’AAF s’est assigné pour mission le partage des connaissances et de la pratique entre professionnels. À ce titre, elle a développé une offre conséquente de formation continue, par le biais de sa filiale Archivistes français formation. Elle édite de nombreuses publications spécialisées, à destination des professionnels des archives mais aussi des personnes chargées de les gérer dans différents types de structures : secrétaires de mairie, gestionnaires dans les établissements d’enseignement, secrétaires médicales dans les établissements de santé. L’Abrégé est le complément naturel de cet ensemble documentaire pour la formation initiale.

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Qui sont les auteurs et les contributeurs de L’Abrégé d’archivistique ?

Cette édition de l’Abrégé d’archivistique est le résultat du travail collectif de nombreux contributeurs, qui ont eu à cœur de proposer un texte accessible, précis et didactique, reflétant au plus juste la pratique professionnelle des archives. Certains de ces auteurs, relecteurs ou coopérateurs sont présents sur le projet depuis l’origine, d’autres l’ont rejoint pour cette nouvelle édition. Ce sont des professionnels des archives, exerçant dans tous les secteurs d’activité, et donc représentatifs des métiers des archives dans leur globalité.

Cette quatrième édition a été entièrement remaniée et augmentée à partir du texte de la troisième édition, coordonnée par Isabelle Chave, auquel avaient participé : Florence Beaume, Jérôme Blachon, Pierre-Frédéric Brau, Anne-Marie Chagny, Philippe Charon, Isabelle Chave, Florence Clavaud, Rosine Cleyet-Michaud, Michel Cottin, Antoine Désiré, Gilles Désiré dit Gosset, Sylvie Dessolin-Baumann, Frédérique Fleisch, Lourdes Fuentes-Hashimoto, Émilie Goubin, Céline Guyon, Arnaud Jules, Xavier de La Selle, Éric Lechevallier, Charlotte Maday, Christine Martella, Henri Michon, Marie-Claire Pontier, Nathalie Regagnon, Aude Roelly, Claire Sibille de Grimouärd, Vanessa Szollosi et Isabelle Vernus.

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Comité de rédaction de la quatrième édition

  • Chapitre I ― Marie-Claire Pontier (AD Bouches-du-Rhône) et Brigitte Guigueno (SIAF).
  • Chapitre II ― Lydiane Gueit-Montchal (AD Indre-et-Loire), Vincent Bouly (AD Nord) et Antoine Meissonnier (ministère de la Justice).
  • Chapitre III ― Antoine Meissonnier (ministère de la Justice) et Vincent Bouly (AD Nord).
  • Chapitre IV ― Maud Jouve (AM Marseille), Gaëlle Mignot (AM Toulouse), Marion Rivière (AM Lyon) et Coline Vialle (AM Brest et Brest-Métropole).
  • Chapitre V ― Pascale Etiennette (AM Nancy).
  • Chapitre VI ― Alice Motte (AD Landes), Florence Clavaud (AN).
  • Chapitre VII ― Thi-Phuong Nguyen (SIAF), Édouard Vasseur (Vitam), Mehdi Afnaï (Vitam) et Nathalie Morin (Vitam).
  • Chapitre VIII ― Marie Ranquet (Archives nationales).
  • Chapitre IX ― Jérôme Blachon (Conseil départemental Haute-Garonne), Lydiane Gueit-Montchal (AD Indre-et-Loire).
  • Sitographie et glossaire ― Lydiane Gueit-Montchal (AD Indre-et-Loire).
  • Index ― Lydiane Gueit-Montchal (AD Indre-et-Loire).
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Coordination

Lydiane Gueit-Montchal (AD Indre-et-Loire), avec la collaboration de Violette Lévy (Archives nationales) et de Dominique Naud (SIAF).

Que soient ici vivement remerciés tous ceux qui, par leurs conseils et leur relecture, ont aidé à la réalisation de cet ouvrage, et plus particulièrement : Anne-Marie Bailloux (Saint-Gobain Archives), Alice Grippon (déléguée générale de l’AAF puis programme Vitam), Brigitte Guigueno (SIAF), Céline Guyon (présidente de l’AAF).

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Comment optimiser votre lecture de l’Abrégé d’archivistique ?

  • Des renvois ont été indiqués entre les chapitres lorsque les sujets y sont abordés de manière complémentaire. Les notes de renvoi sont signalées par un appel de note de la couleur du chapitre ;
  • 44. Voir chap. II, section 1.4, p. 55 ;
  • à la fin de chaque chapitre figure la liste des termes utilisés dans le chapitre qui sont définis dans le glossaire ;
  • les annexes sont disponibles en ligne sur ce site. Elles sont indiquées avec un pictogramme spécial.

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